Les forêts au premier plan et le Nevado de Toluca sous la neige sur un panneau du municipe de Zinacantepec : la neige et les forêts, images de marque du Nevado.
Il est très fréquent que les populations des villages visités s’approprient la figure du Nevado, dans une perspective symbolique et culturelle. C’est notamment le cas à San Juan de Las Huertas, village au nord-est de l’aire protégée. La salle du village est ainsi décorée de fresques et de peintures sur lesquelles apparaît ce qu’on pense être le Nevado, dans différents contextes et à différents moments marquants de l’histoire mexicaine. Le Nevado est ainsi représenté en arrière-plan d’un chemin de fer traversant un bourg mexicain.
Fin octobre 2013 : le Nevado de Toluca exceptionnellement enneigé vu depuis Agua Blanca
Cette photographie a été prise dans un café à Toluca. Le Nevado de Toluca enneigé est souvent présenté (photographies, affiches, tableaux) dans les cafés et restaurants, dans les communautés, mais aussi à Toluca.
Les forêts du Nevado, vues comme jouant un rôle crucial dans la régulation du château d’eau (en quantité et en qualité).
Cette pancarte se trouve à l’entrée de l’aire protégée, sur la route qui mène au sommet du volcan. Le Nevado y est encore présenté en blanc, recouvert de neige. On voit aussi la piste en lacet qui monte jusqu’au lac de cratère. Il semble aussi montrer comme un lien entre le ciel et la terre.
Cette photographie met en évidence un panneau à l’entrée de la montée vers le sommet du Nevado de Toluca, fermé par un péage. Là encore, le Nevado est représenté en blanc, enneigé. De tels panneaux ont souvent ainsi une visée touristique, et cherchent déjà à faire rêver le visiteur qui s’apprête à monter au Nevado, en lui en présentant une vision assez idéale et rare, la neige n’étant que peu présente sur le sommet du Nevado et plus généralement dans l’ensemble de l’aire protégée.
Cette photographie a été prise sur le marché de Toluca. Nombreux sont les peintres à y présenter des représentations picturales du Nevado, presque toujours enneigé.
Cette photographie a été prise sur le marché de Toluca. Nombreux sont les peintres à y présenter des représentations picturales du Nevado, presque toujours enneigé.
Cette photographie a été prise sur le marché de Toluca. Nombreux sont les peintres à y présenter des représentations picturales du Nevado, presque toujours enneigé.
Cette photographie a été prise sur le marché de Toluca. Nombreux sont les peintres à y présenter des représentations picturales du Nevado, presque toujours enneigé.
Sur cette photographie, le Nevado est représenté en arrière-plan d’un village mexicain traditionnel, avec son emblématique kiosque, mais aussi d’un rassemblement populaire révolutionnaire, sur cette fresque qui commémore le bicentenaire de l’indépendance du Mexique à Coatepec Harinas.
Même les objets du quotidien peuvent devenir les supports du symbole. Ce taxi, qui circule dans les rues de Toluca, est ainsi décoré de l’image du Nevado, comme une symbolique récurrente qui fédère les espaces environnants de l’aire protégée. De la même manière, une telle utilisation de la silhouette du volcan illustre les nombreuses utilisations touristiques qui en sont faites, au-delà d’un aspect culturel indéniable. C’est ainsi que l’on peut voir, dans l’ensemble de la zone protégée et dans les zones périphériques (à Toluca en particulier), de nombreux objets et peintures représentant ce fameux volcan.
Voici une enseigne d’un restaurant à Calimaya, « La terrasse du Nevado ». Sur l’enseigne, on remarque la ligne de crête du Nevado, toujours très reconnaissable, représentée enneigée, comme souvent sur ce type de panneau à visée touristique autant que symbolique. Ainsi, un certain nombre d’infrastructures touristiques, des zones d’écotourisme aux restaurants en passant par les taxis, utilisent la figure du Nevado.
Le Nevado, emblème de l’aire protégée, est aussi appelé Xinantécatl. Ce nom proviendrait ainsi soit de la langue matlazinca, soit de la langue nahuatl, et signifierait dans les deux cas « homme dénudé ». En effet, la forme de la ligne de crête du volcan fait penser à un homme allongé. C’est cette étymologie indigène que nous retrouvons sur cette peinture de la salle du village de San Juan de Las Huertas.