Cette photographie a été prise au cœur des forêts de l'ouest de l'aire protégée, à proximité de la pisciculture El Rincón, dont les espaces verdoyants se mêlent aux futaies. Herbes touffues, petits buissons et ruisseau constituent autant de marqueurs d'un paysage forestier typique de cette zone du parc, qui à certains égards nous rappellent les paysages de forêts des massifs européens.
Les éléments constitutifs d'un paysage sont partout, et même les centres urbains peuvent receler des éléments marquants. Ici, dans le centre-ville de Toluca, on aperçoit une colline dont les pentes sont largement anthropisées et urbanisées. Ce type d'urbanisation est fréquent dans une région qui, à l'instar de l'agglomération de Mexico, doit composer avec un relief changeant, entre plaines et altitudes moyennes à hautes.
Dans les villages périphériques de l'agglomération de Toluca, les formes d'urbanisation se transforment, au fur et à mesure que nous nous rapprochons ou que nous pénétrons dans l'aire protégée du Nevado de Toluca. Ainsi, à San Pedro Tejalpa, en périphérie des banlieues de Toluca, les formes de bâti varient d'une partie à l'autre du village. On retrouve sur beaucoup de bâtiments les typiques inscriptions murales à visée politique, mais l'aspect de ces derniers varie, entre des maisons « en dur », possédant des fenêtres relativement modernes, des terrasses, des jardins aménagés ou encore des barrières et murs de protection (exemple de la première photo) et d'autres habitations plus modestes, non peintes, ou dont les toits restent en tôle ou en grandes plaques de plastiques.
Dans les villages périphériques de l'agglomération de Toluca, les formes d'urbanisation se transforment, au fur et à mesure que nous nous rapprochons ou que nous pénétrons dans l'aire protégée du Nevado de Toluca. Ainsi, à San Pedro Tejalpa, en périphérie des banlieues de Toluca, les formes de bâti varient d'une partie à l'autre du village. On retrouve sur beaucoup de bâtiments les typiques inscriptions murales à visée politique, mais l'aspect de ces derniers varie, entre des maisons « en dur », possédant des fenêtres relativement modernes, des terrasses, des jardins aménagés ou encore des barrières et murs de protection (exemple de la première photo) et d'autres habitations plus modestes, non peintes, ou dont les toits restent en tôle ou en grandes plaques de plastiques.
En dépit d'une diversité paysagère importante entre les différentes zones de l'aire protégée, les places de villages des communautés rassemblent presque toujours les mêmes éléments : l'église du village est toujours très colorée, les guirlandes décorent les rues les plus centrales, et le petit kiosque apparaît comme un lieu symbolique de rassemblement, comme ici à Cacalomacan, dans la banlieue de Toluca.
Dans des espaces considérés comme plus ruraux, la roche, élément constituant du paysage, s'offre à nous de manière plus visible. Ainsi, à proximité de San Pedro Tepehuixco, dans la partie orientale de l'aire protégée, nous pouvons apercevoir cet orgue basaltique, formation géologique, souvent spectaculaire, sous formes de colonnes plus ou moins visibles et issues de la solidification et contraction thermique d'une ancienne coulée de lave.
Les zones méridionales de l'aire protégée sont connues pour la forte prévalence des activités floricoles. Ces photos de serres, parfois très étendues, mettent en évidence l'emprise de cette activité sur le paysage. Ces dernières sont visibles de très loin, et participent ainsi d'une construction paysagère typique du Sud du parc. Lors des déplacements sur les routes du Sud de l'aire, qui progressivement rapprochent le visiteur de l'Aire protégée de l’État du Guerrero et des côtes de l'océan Pacifique, ces tâches blanches ponctuent ses observations et suscitent son interrogation sur une activité emblématique du Mexique et a fortiori d'une assez grande partie du continent sud-américain.
Les zones méridionales de l'aire protégée sont connues pour la forte prévalence des activités floricoles. Ces photos de serres, parfois très étendues, mettent en évidence l'emprise de cette activité sur le paysage. Ces dernières sont visibles de très loin, et participent ainsi d'une construction paysagère typique du Sud du parc. Lors des déplacements sur les routes du Sud de l'aire, qui progressivement rapprochent le visiteur de l'Aire protégée de l’État du Guerrero et des côtes de l'océan Pacifique, ces tâches blanches ponctuent ses observations et suscitent son interrogation sur une activité emblématique du Mexique et a fortiori d'une assez grande partie du continent sud-américain.
Les paysages du sud se distinguent de ceux des autres parties de l'aire protégée par leur luxuriance. Tout est très verdoyant, et le caractère plus tropical des lieux se révèle à travers la diversité de la végétation : bananiers et citronniers côtoient de superbes fleurs colorées, des oiseaux du paradis, inhabituelles dans le Nord ou l'Ouest du parc. Le Sud est également l'espace par excellence de la floriculture irriguée, dont le développement s'est intensifié depuis les années 1970, à travers des exploitations moyennes à grandes, qui fait rayonner à travers le monde entier la qualité des fleurs et plantes mexicaines. Si ces activités ne sont pas sans susciter la controverse, elles restent emblématiques de cette zone de l'aire protégée, et également du pays tout entier.
Les paysages du sud se distinguent de ceux des autres parties de l'aire protégée par leur luxuriance. Tout est très verdoyant, et le caractère plus tropical des lieux se révèle à travers la diversité de la végétation : bananiers et citronniers côtoient de superbes fleurs colorées, des oiseaux du paradis, inhabituelles dans le nord ou l'ouest du parc. Le sud est également l'espace par excellence de la floriculture irriguée, dont le développement s'est intensifié depuis les années 1970, à travers des exploitations moyennes à grandes, qui fait rayonner à travers le monde entier la qualité des fleurs et plantes mexicaines. Si ces activités ne sont pas sans susciter la controverse, elles restent emblématiques de cette zone de l'aire protégée, et également du pays tout entier.
A plus de 4000 mètres d'altitude, nous contemplons les lagunes du Nevado. La lagune du Soleil et de la Lune s'offrent à la contemplation du marcheur, parmi les crêtes ravinées et les nombreuses pierres volcaniques qui ponctuent les chemins de randonnées. La végétation, quasi-absente, témoigne des hautes altitudes et des conditions climatiques souvent rudes à proximité du volcan.
Au sein de la forêt, cette photographie de la pisciculture El Rincón témoigne d'un aménagement anthropique comme élément paysager majeur. On peut voir au premier plan les aménagements piscicoles et une végétation spécifique de touffes d'herbes que l'on retrouve à divers endroits du Nevado. En arrière plan, on aperçoit une végétation en futaie ainsi que la roche à nu, témoignant de phénomènes d'érosion localisés dans cette zone de l'aire protégée.
A plus de 4000 mètres d'altitude, nous contemplons les lagunes du Nevado. La lagune du Soleil et de la Lune s'offrent à la contemplation du marcheur, parmi les crêtes ravinées et les nombreuses pierres volcaniques qui ponctuent les chemins de randonnées. La végétation, quasi-absente, témoigne des hautes altitudes et des conditions climatiques souvent rudes à proximité du volcan.
Le petit village d'Agua Blanca est très proche du Nevado et de la zone centrale de l'aire protégée. C'est pourquoi nous pouvons aisément voir, encore mieux depuis la colline qui surplombe le village, les petites maisons de bois qui composent le village, au premier plan, surplombées à l'arrière-plan par d'imposantes forêts mixtes, et par le volcan lui-même, couvert de neige en cet après-midi d'octobre.
Il suffit souvent d'un instant pour capture un bel événement paysager. C'est le cas sur cette photographie, où, au premier plan, une brume presque mystérieuse voile, à l'arrière-plan, les forêts mixtes du cœur de l'aire protégée, une partie des maisons de bois d'Agua Blanca ainsi que le linge qui a été mis à sécher à l'extérieur, par les habitants du village, malgré le froid mordant de cette journée d'octobre.
Terre d'agriculture, l'aire protégée du Nevado est aussi une terre d'élevage. Il n'est ainsi pas rare, dans le village d'Agua Blanca, de croiser de nombreux moutons, paissant sur les collines, ou se promenant dans le village, seuls ou en groupe. Sur cette photographie, le troupeau de moutons est dérangé dans son activité par une habitante du village, qui tente de les réunir et de les mener en bas de la colline.
Sur cette photo prise au presque lever du jour, le Nevado se tient dans la brume et les nuages. Cette rencontre avec le volcan se fait en parcourant des routes de montagnes, qui deviennent de plus en plus abruptes au fur et à mesure que l'altitude augmente. Les paysages changent, la forêt laisse place à une végétation plus arbustive, et le froid s'intensifie. Avec de la chance, la neige sera présente au sommet !
Cette photographie met en évidence la ligne de crête du Nevado de Toluca, vue depuis la localité de San Juan de las Huertas. On remarque ainsi un paysage montagnard et très humide, en témoigne la présence de cet étang au premier plan et de berges bien vertes, mais peu entretenues. Entre cet étang et la ligne de crête du Nevado, on voit se dessiner forêts, champs, et habitations, dans une brume qui trouble quelque peu notre vision.
Cette photographie est celle d'une forêt de pins dans laquelle est tracée la route vers le Sud, La Puerta-Sultepec. Les plantes d’agaves sous les pins rappellent que l’on situe dans un espace traversé par le tropique du Cancer, à l’interface entre deux influences tropicale et tempérée. La forêt, en bordure d’une voie fréquentée, est dégradée par l’homme et par les intempéries.
Voici un paysage typique du versant nord-ouest du Nevado de Toluca, à San Francisco Oxtotilpan : on y voit une prairie herborée et fleurie, des champs de maïs, un élevage ovin et également des collines recouvertes de forêt de conifères à l’arrière-plan. La brume, comme souvent, y est présente et visible, et ajoute un aspect mystérieux au paysage observé, le différenciant radicalement des paysages plus radieux du sud.
Cette photographie est celle d'un événement paysager naturel dans la partie sud du parc : on y voit la hampe florale de l’agave, qui ne fleurit qu’une fois avant de mourir. A côté de cette hampe floral, on remarque un arbre assez commun des espaces méridionaux de l'aire protégée. A l'arrière-plan, on remarque des paysages de serres dédiées à la floriculture. Cet ensemble d'éléments constitue ainsi un paysage typique du sud.
Voici un autre exemple d'événement paysager. La pisciculture El Rincon est un élevage de truite, ainsi qu'un restaurant et une infrastructure d’écotourisme, dans le municipe de Corral de Piedra : on voit sur cette photographie les bassins de pisciculture dans la forêt de conifères, sur le versant Nord-Ouest du volcan. Les infrastructures sont installées au cœur des forêts de cette zone de l'Aire protégée.
Cette photographie colorée met en lumière deux éléments constitutifs du paysage : le bâti et la végétation. Au premier plan, herbe verbe et agaves typiques côtoient les installations électriques et la maison à l'arrière-plan, à la couleur plus exotique que nos habitations européennes. Aire protégée, le Nevado de Toluca est aussi un lieu d'habitation, et ce sont également ses populations qui l'aménagent et le façonnent.
Voici un paysage typique du versant nord du Nevado de Toluca, entre occupation humaine (pylône de ligne à haute tension), activités humaines (champs de maïs) et milieu naturel (collines recouvertes de forêts de conifères). Cette photographie a été prise lors de notre déplacement vers la pisciculture El Rincon, à proximité de Corral de Piedra. Elle peut ainsi apparaître comme un paysage « de transition » entre les espaces plus proches de l'agglomération de Toluca et les espaces de l'ouest, brumeux et très forestiers.
Cette photographie met en évidence un paysage de contact entre la forêt de conifères et la prairie, gorgée d’eau et dont le sol est constitué d’humus. La prairie se caractérise par la présence de ces touffes d’herbe, de la famille des laîches, typiques des prairies humides tempérées. Le contact est souligné par la présence de la piste, bordée par les lignes électriques. A proximité se trouvent déjà quelques infrastructures piscicoles.
Voici à nouveau un exemple d'événement paysager : la reforestation. On reconnaît au premier plan, des jeunes pins plantés, alignés rigoureusement qui correspondent à une parcelle de reforestation, créant une rupture avec la forêt dense à l’arrière-plan. Ces processus de reforestation tendent à se multiplier à quelques endroits de l'Aire protégée, afin de réhabiliter une végétation soumise aux incendies ou à la coupe.
Voici la photographie d'un paysage structuré en trois bandes distinctes. Au premier plan, on aperçoit un champ de maïs, au second plan, un terrain de reforestation et à l’arrière-plan, une forêt de conifères : le paysage est ainsi divisé entre une activité humaine ancienne, l’agriculture, une activité humaine plus récente qui œuvre pour retrouver une « nature en bonne santé » et un paysage végétal, le paysage naturel de référence.
Agua Blanca, 3183 mètres d'altitude, fin octobre. Voici la photographie d'un paysage structuré en quatre bandes : en premier lieu, des sols d’humus gorgés d’eau. On aperçoit ensuite le village de maisons en bois, puis la forêt de conifères, et enfin la ligne de crête du Nevado de Toluca enneigée, chose inhabituelle en ce mois d'octobre.
A Agua Blanca, les croix en fer ou en bois, sont des éléments à part entière du paysage. Dans cette communauté, la plus haute du Nevado et la plus pauvre, la vie est difficile et la religion très présente. On en dénombre presque une dizaine dans le village. Les premières neiges sur les crêtes du Nevado de Toluca sont un événement paysager, elles changent les couleurs du paysage.
A Agua Blanca, la route qui traverse le village n’est bétonnée qu’au niveau de l’école, peu après l’entrée du village, à l’avant-dernière maison. Elle s’arrête brutalement pour redevenir une piste. Les entrées d’argent ne sont jamais régulières pour les autorités ejidales qui n’arrivent bien souvent pas à mener de projet sur le long terme. Sur cette photographie, aménagements anthropiques plus ou moins avancés côtoient ainsi les troupeaux de moutons paissant dans sur la colline.
Cette photographie montre un lever de soleil dans une rue de Toluca, à côté de l'hôtel Canada. le profil des rues est bas et est irrégulier, le réseau de lignes électriques et téléphoniques est dense et occupe une grande part du paysage en hauteur. Nous avons ainsi l'illustration d'une partie d'un centre urbain, dans lequel la végétation (les arbres bordant la rue) côtoient des installations humaines nombreuses.
Cette photographie permet d'effectuer un zoom sur les eaux du lac de cratère de la « Laguna del Sol », au sommet du Nevado de Toluca. On reste assez surpris, et même émerveillés, par la pureté apparente des eaux de la Lagune, par leur couleur intense, et par leur étendue au cœur des crêtes du Nevado. Les promeneurs paraissent alors extrêmement petits par rapport à cette lagune, qui est une des attractions touristiques les plus appréciées du volcan.
Cette photographie illustre à nouveau la notion d'événement paysager, en montrant la création d’une falaise pour tracer la route de San Juan de las Huertas à San Fransisco Oxtotilpan et pour avoir des matériaux à disposition pour les constructions nouvelles et l’entretien des voies de communication.
Cette photographie est celle d'un paysage typique du nord de l'aire protégée : la forêt y domine, à la fois composée de feuillus et de conifères, et la topographie apparaît comme plus vallonnée. En comparaison des paysages chauds et lumineux du Sud, les paysages brumeux du Nord nous semblent ainsi plus proches de quelques uns de nos paysages montagnards européens les plus connus.
On remarque des déchets organiques et domestiques (végétaux, carton, bouteilles en plastique, sacs en plastique, emballages) déversés au pied d’un pylône abandonné dans le village de San Francisco Oxtotilpan, commune en bordure de l’aire protégée. Dans de pareils cas, la notion d' « Aire protégée » apparaît ainsi comme très ténue, et pose la question d'une intervention humaine pour renforcer les diverses actions de protection.
Cette photographie met en évidence un paysage de serres destinées à la floriculture au-dessus de la route de Zacango. Ces installations ponctuent les déplacements du voyageur en route vers les espaces du Sud de l'Aire protégée, et attirent l’œil vers cette activité spécifique. Au détour d'un village, le visiteur pourra alors peut-être apercevoir les superbes fleurs et plantes cultivées sous ces serres...
Voici à nouveau un événement paysager, des travaux sur la route de San Miguel Oxtotilpan. Le versant est attaqué pour les travaux de terrassement. Pour les chantiers nécessitant des matières premières rocheuses, les carrières sont creusées à proximité.
Cette photographie a été prise à Santa Maria del Monte. On y voit une fête de village célébrant la Vierge de Guadalupe, figure catholique majeure au Mexique. Ces fêtes de villages semblent assez fréquentes, et on remarque dans une grande majorité des communautés les guirlandes et décorations dans les rues, ou encore sur certaines maisons.
Nous pouvons voir sur cette photographie un nouvel exemple de formes volcaniques : ce sont des orgues basaltiques dans la zone ouest du Nevado de Toluca, à Corral de Piedra. Ces formes volcaniques ne sont pas l'apanage de la zone Ouest, nous en avons également aperçus dans la zone orientale de l'aire protégée. C'est ainsi l'ensemble de l'espace étudié qui est marqué par les héritages volcaniques.
Cette photographie montre des séchoirs pour les épis de maïs en bois, très courant dans le paysage de chaque village et de chaque cour de maison. Elle met ainsi en évidence les constructions effectuées par les habitants de l'Aire protégée du Nevado de Toluca, pour maîtriser leur environnement et aménager leur territoire selon les outils et possibilités dont ils disposent.
Prise à La Guacamaya, dans le sud-ouest de l'aire protégée, cette photographie met en évidence de nombreuses constituantes du paysage : au premier plan, agaves et végétation arbustive sont visibles. A l'arrière-plan, on remarque bien les habitations ainsi que les activités d'élevage et agricoles, avec les parcelles cultivées. La notion de paysage émerge ainsi à travers le caractère anthropisé de ces espaces à l'aspect relativement sauvage.
Cette photographie nous apparaît comme typique de la partie ouest de l'aire protégée. Prise à proximité de La Guacamaya, au Sud-Ouest, elle met en évidence une atmosphère à la fois brumeuse, témoignant de conditions climatiques particulières en altitude, et très végétale.La végétation arbustive côtoie ainsi les champs de maïs et les parcelles d'élevage, à proximité de fermes familiales.
Prise depuis l'université de Toluca, cette photographie met en évidence de nombreuses infrastructures témoignant des aménagements multiples du territoire urbain de Toluca. On remarque ainsi des infrastructures sportives, au milieu de petits espaces verts, mais également la nature des processus d'urbanisation de l'agglomération. Comme sur d'autres photographies, on remarque des pentes très urbanisées.
Ces deux photographies, à l'instar de celle de la pisciculture, mettent en évidence des aménagements récents, mais simples, dédiés à une forme de tourisme en plein développement : l'écotourisme. L'Aire Naturelle protégée du Nevado de Toluca apparaît ainsi de plus en plus comme un lieu par excellence de l'émergence, à l'échelle mexicaine, de ces formes de tourisme. Si le tourisme blanc est connu (lorsqu'il neige sur le Nevado, sportifs et curieux se pressent pour admirer la volcan, se promener ou skier sur ses crêtes), le tourisme écologique se fait une place de choix, notamment à travers des installations adaptées au paysage, des infrastructures construites, autant que faire se peut, en harmonie avec le caractère protégé de ces espaces.
Ces deux photographies, à l'instar de celle de la pisciculture, mettent en évidence des aménagements récents, mais simples, dédiés à une forme de tourisme en plein développement : l'écotourisme. L'Aire Naturelle protégée du Nevado de Toluca apparaît ainsi de plus en plus comme un lieu par excellence de l'émergence, à l'échelle mexicaine, de ces formes de tourisme. Si le tourisme blanc est connu (lorsqu'il neige sur le Nevado, sportifs et curieux se pressent pour admirer la volcan, se promener ou skier sur ses crêtes), le tourisme écologique se fait une place de choix, notamment à travers des installations adaptées au paysage, des infrastructures construites, autant que faire se peut, en harmonie avec le caractère protégé de ces espaces.
Activités spécifiques de l'ouest de l'aire protégée, les exploitations minières ont transformé le paysage de manière visible. Sans risques avérés pour les espaces environnants, comme nous l'avons vu à travers nos entretiens avec les directeurs des mines de San Francisco Oxtotilpan et San Miguel Oxtotilpan, elles côtoient cependant cultures de pommes de terre et forêts, dans des espaces soumis au risque naturel, notamment d'inondation.
Comme l'illustre cette photographie, les carrières de pierre apparaissent comme une activité importante au sein même de l'aire protégée. Les exploitations restent relativement moyennes, et les infrastructures sommaires. Ainsi, accidents de travail (dus à une utilisation approximative des machines ou par manque de protection) et maladies respiratoires demeurent monnaie courante dans ces mines.
Toluca, capitale de l’État de Mexico, est aussi la cinquième ville du pays. Cette photographie met en évidence un espace du centre-ville, emblématique des grandes agglomérations : il s'agit d'un paysage urbain, sur lequel l'action de l'homme se fait plus que jamais ressentir. Bâtiments de qualité diverse, installations électriques et panneaux publicitaires témoignent de nombreux processus de centralité.